Tu es de retour pour une nouvelle saison de Providence un tournage que tu dois retrouver chaque année?
Oui, j'aime ca parce que c'est une grande famille, c'est un cliché. Plus tu travailles avec une équipe, plus le gens le ressentent. À la base, il y a une auteure formidable, Chantal Cadieux, la réalisation de Réjean Bourque et Anne Sénécal. Ensuite, j'ai de la chance de travailler auprès des personnes avec qui j'ai un plaisir fou. Les téléspectateurs sont fidèles au rendez vous. S'il y aune chose dont on me parle dans la rue c'est Providence, des gens de la trentaine, des gens un peu plus âgés, des gens adolescents, la distribution est multigénérationelle. La plus jeune a 11 mois et le plus vieux doit avoir 80 ans, on couvre large et on parle de la vraie vie. Ca se passe dans un milieu rural, ce qu'on ne voit plus beaucoup la campagne, la ferme. Si on revient, c'est parce que le monde aime l'émission. C'est ce qu'on veut.
Chaque saison, on retrouve mystères dans ce téléroman. Lorsque vous recevrez les texte, y a t il un suspense?
Elle a tissé sa toile tellement large, on se demande ce qui va arriver. On se demande combien de business je vais perdre, qui va naître, qui va mourir, qui va revenir d'outre tombe, comme lorsque notre père est revenu. Il y a des rebondissements avant les tournages, on se demande ou on s'en va. Si on est allumés, on va allumer notre auditoire.